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mercredi, juin 21, 2006

Fin de parade 

Les vaches, suite et fin...
La "cow parade" parisienne se termine, et voici une partie des vaches désormais regroupées pour quelques jours à l'Esplanade de la Défense.


le Carnac des vaches

L'alignement parfait colle bien avec la Défense (architecture de lignes droites, la quantité de foule déplacée en masse tous les jours...) mais très mal avec l'idée du projet - pas très exotique ni trop déjanté comme idée. Il n'y a donc pas un fouillis aléatoire de vaches partout dans la Défense comme on pourrait le souhaiter, mais en passant en revue ces bovins méritants après leur campagne victorieuse, on retrouve avec plaisir des vaches vues en ville et l'on en découvre (beaucoup) d'autres.

Ainsi, notre andalouse du Marais se lance dans l'assurance :

  
avant / après


Pas encore vue jusque là, dédicace spéciale à la vache "petite cuillère et cornet" financée par Ben&Jerry's:


who knows, maybe it comes from Vermont!

dimanche, juin 04, 2006

sous le soleil 

exactement. et avec beaucoup de chance, puisqu'il pleuvait la veille. C'est donc bien la crème solaire qui était de mise vendredi dans les tribunes de Roland Garros, et le soulagement général. L'alchimie a donc pu fonctionner à nouveau, tant attendue et espérée depuis que l'on a le billet en poche - sans être licencié fft, par tirage au sort, et plutôt en ne demandant qu'une place et en étant souple (si le central est complet, je veux bien autre chose, hein, je fais pas la fine bouche!).
...ouf! le soleil!
Alors après, le chaud, le froid (vent frais), les hauts (Nadal, impérial), les bas (dommage pour Mlle Rezai), peu importe, c'est surtout la douce musique d'une journée au panthéon du tennis qui berce, une vraie drogue.
La balle fuse, semble aller beaucoup plus vite qu'à la television, chaque point est en fait un exploit. Tout cela pendant 10h, au fil de cinq matches. Un marathon qui file tranquillement au son de la balle jaune, en tentant de temps à autre de réussir une photo pas trop mal. Je vous laisse juge.


midi sur le Lenglen, soleil au zénith



Nadal dans ses oeuvres, peu d'espoir pour Kevin Kim



Nicolai Davydenko fête ensuite ses 25 ans, devant Eltsine, et face à un bien pâle Moya



20h. Federer sur le central. Come on Roger!


NB. KV a raison, beaucoup de jaune cette année porte d'Auteuil!
NB2. Non, cette année, je ne vais pas à la finale.